Le cabaret qui ruisselle
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Wednesday, February 24, 20217:30 pm
Presented by Productions SuperMusique (PSM), Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ).
- Online event
- Live
- Free access
The Ensemble SuperMusique has been at the crossroads of contemporary music, improvisation and sound experimentation for 40 years! To mark this anniversary, its musicians present you with a cascade of unusual performances, both emblematic of the current music scene and a counter-current to the concertante form. This cabaret thus flows with crazy energy and a dose of the unexpected, with a common denominator: a passion for creation at the edge of musical styles. Without a doubt a vaccine for our gloomy long winter!
Part of the Montréal/Nouvelles musiques
Aspart of the Montréal/Nouvelles musiques festival
Coproduction MNM / Productions SuperMusique
La source
In 1980 a burst of musical audacity and freedom gave birth to a new genre that has since expanded into an intricate network of new musics. From its early rivulets to its fully formed rivers, this spring has transformed itself into a prodigious interweaving of sonic inventions and “noisy” ideas. Under the guidance of the former three original Super-Mémés — as the three artistic directors were known at that time —, an actual booking agency for concerts and tours was born… Between 1980 and 1986, this agency worked exclusively with/for a small bunch of bands: Wondeur Brass, Justine and Les Poules. Over the years, they decided to open up to other musicians; SuperMusique became then a major player for the creation, production and distribution of musique actuelle and improvised music.
Participants
- Michel F Côté, MC
- Danielle Palardy Roger, percussion, voice
- Lori Freedman / Scott Thomson Duo (Lori Freedman, clarinet; Scott Thomson, trombone)
- House of Gold (Eugénie Jobin Tremblay, metallophone, voice; Frédérique Roy, voice; Katelyn Clark, synthesizer; Isaiah Ceccarelli, percussion)
- Gabriel Dharmoo, voice
- Nous perçons les oreilles (Jean Derome, objects; Joane Hétu, voice, objects)
- Kathy Kennedy / Vergil Sharkya’ (Kathy Kennedy, voice, electronics; Vergil Sharkya’, synthesizers)
- Pierre-Yves Martel, pedal steel guitar
- Jennifer Thiessen / Ida Toninato (Jennifer Thiessen, viola d’amore, voice; Ida Toninato, baritone saxophone, voice)
- Girard-Charest / Gironnay (Émilie Girard-Charest, cello; Kevin Gironnay, prepared electric guitar)
- Provisional Mailorder (Anne-Françoise Jacques, rotating amplified objects; Craig Pedersen, amplified trumpet)
- Palacio-Quintin + Lauzier (Cléo Palacio-Quintin, bass flute; Philippe Lauzier, bass clarinet)
- Tamayugé (Tamara Filyavich, electronics; Maya Kuroki, voice, electronics)
- Eguiluz Trio (Stéphane Diamantakiou, double bass, voice; Géraldine Eguiluz, trumpet, voice; Jean René, viola, voice)
- Chorale Joker (Isaiah Ceccarelli; Jean Derome; Gabriel Dharmoo; Géraldine Eguiluz; Kathy Kennedy; Maya Kuroki; Cléo Palacio-Quintin; Danielle Palardy Roger; Vergil Sharkya’; Ida Toninato; Joane Hétu, conductor)
Programme
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Prestation extraite de «Voyage en aphasie mineure», série de pièces solo commandée par Traquen’art et présentée en 1998 dans le cadre du festival Musique actuelle.
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«Un divertissement remarquablement sérieux» selon la critique de leur album «Plumb» par Philip Clark dans The Wire, juillet 2008.
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Isaiah Ceccarelli, Katelyn Clark, Eugénie Jobin Tremblay, Frédérique Roy / Isaiah Ceccarelli, Terre noire (2021) (premiere)Une «chanson de chambre» écrite sur un texte original d’Isaiah Ceccarelli. La musique puise dans ses influences principales: la musique improvisée, la musique ancienne, la musique folklorique et le jazz.
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Une improvisation vocale avec maquillage.
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Une vie entière à couiner, gratter, rugir, bramer, hurler, susurrer…
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Une brève visite sur un talk-show extraterrestre surréaliste, plein de néons scintillants et de bruits crépus et bizarres.
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pedal steel guitarUne nouvelle œuvre pour pedal steel à mi-chemin entre la composition et l’improvisation.
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Elles entrelacent les sons de leur instrument pour créer un monde unique et envoûtant.
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Une improvisation aussi sensible que tendue, avec les cordes d’un violoncelle et d’une guitare électrique préparée.
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Air et objets en rotation, amplifiés à différentes vitesses.
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Le son devient une matière organique vivante qui lentement façonnée permet d’en découvrir les infimes variations acoustiques. L’auditeur est invité à «se perdre» dans ce riche espace sonore qui révèle une toute nouvelle perception du temps.
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La voix fantasmagorique de Maya fusionne avec les fantômes électroniques sortant des machines cauchemardesques de Tamara et nous invite à un étrange rituel.
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Le trio interprète une pièce de son album «Ontologies» (MKR 103), inspirée d’une représentation sur dessin des huit trigrammes du Yi King.
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Quand il n’y a plus de mots, plus de sons, que des murmures et des exclamations, il reste toujours les yeux sourires.